Coussin ASMAANI de la marque INJIRI.
HISTOIRE DE VOYAGES
Injiri, qui signifie « la vraie Inde », signifie historiquement « les vrais textiles à carreaux Madras ».
Chinar Farooqui crée la marque en 2009. Injiri croit en la beauté des processus de tissage à la main. Injiri en tant que marque est davantage une histoire de narration, le point final reflète le parcours de nombreux processus. Elle fabrique des vêtements pour femmes et des textiles pour la maison. La marque se concentre sur le développement textile et l’utilisation durable des matériaux.
Injiri est dans plusieurs magasins à travers le monde. Célébrant la tradition vivante de l’artisanat en Inde, la marque a trouvé un écho auprès des esthètes du monde entier. L’une des nombreuses réalisations de la marque a été le prestigieux prix EDIDA pour les textiles d’intérieur en 2016.
CONCEPTION — LE PROCESSUS
L’Inde, sur toute sa longueur et sa largeur, a été le pays d’extraordinaires tissus tissés à la main. Des styles, couleurs, textures et caractéristiques uniques multiples, se rapportant à la région spécifique dans laquelle ils sont cultivés et filés.
Les histoires de design commencent par la conservation et l’étude de vieux morceaux de textiles qui présentent l’artisanat dans ses formes les plus pures.
La plupart des métiers en Inde ont des codes uniques liés à la géographie dont ils sont issus. De la lisière construite pour protéger le tissu pendant des générations, aux motifs qui révèlent l’identité du sol d’où il provient. Injiri se concentre sur ces détails.
Les formes Injiri proviennent d’un éventail d’inspirations. Les vêtements les plus simples portés par les paysans, les agriculteurs et l’homme du commun nous inspirent le plus.
Autrefois, la fabrication de vêtements était un processus très lent et permettait au fabricant de faire chaque pièce à loisir. La qualité « fait main » des pièces anciennes est très évidente et Injiri s’inspire encore et encore de ce savoir-faire.
FONDATEUR — LA PREMIÈRE GRAINE ET SON HISTOIRE
La beauté du Rajasthan, un endroit où Chinar a grandi, est ancrée dans l’histoire et abrite également plusieurs objets artisanaux indigènes. Voyageant beaucoup avec un amour pour l’art et la culture traditionnels, Chinar bénéficie tôt d’une exposition enrichissante à tout ce qui est fait à la main et artisanal.
Ce penchant pour la beauté des objets traditionnels l’a amenée à poursuivre une licence en beaux-arts à l’université historique Maharaja SayajiRao. Puis un diplôme en design textile à l’Institut national de design d’Ahmedabad en Inde.
C’est au cours de sa formation en design que ses connaissances et son intérêt pour les textiles indiens se sont approfondis. Notamment au cours d’un processus de documentation au Ladakh. Chinar a eu sa première rencontre approfondie avec les personnes qui créent des textiles traditionnels, indigènes à une zone géographique. Puis elle effectue des voyages de travail dans des clusters tels que Lucknow, Chanderi et Kachchh. Ceux-ci la sensibilisant à l’histoire des mains, des vies et de l’histoire derrière cet art textile.
Le projet de recherche sur la teinture lac de Chinar à Bhujodi, Kachchh a joué un rôle déterminant dans la relance des techniques de teinture organique avec les initiatives des maîtres tisserands.
Chinar a fondé Injiri en 2009 avec le désir de nouer des liens durables avec les textiles indiens. Elle réussi son pari à travers son travail et ses explorations continues des techniques régionales.
